…ou l’histoire d’un cheval condamné par la science…
Si la vision mécaniste de la santé et de la maladie qui caractérise la médecine conventionnelle est encore aujourd’hui celle qui est enseignée dans les universités, on assiste depuis quelques années à l’émergence d’une approche plus globale, holistique. Les découvertes récentes, notamment dans le domaine de la physique quantique, sont en train de bouleverser le monde scientifique et médical.
Il a notamment été démontré que les actions d’une particule influencent instantanément les autres, quelle que soit la distance qui les sépare. Les particules, ces petits paquets d’énergie vibrante, échangent constamment de l’énergie et des informations. L’univers n’est donc pas un «entrepôt » d’objets séparés et statiques, comme le croyait Newton, mais un immense organisme unique, fait de champs d’énergie interconnectés.
«On sait aujourd’hui que les pensées sont une forme d’émission de biophotons, particules de lumière porteuses d’énergie émises par tous les organismes vivants: plantes, animaux, êtres humains. Le fait d’orienter ses pensées vers un objectif précis (ce que les scientifiques appellent l’intention) semble produire une énergie assez puissante pour modifier la réalité physique », explique Lynne Mc Taggart[2].
Cette « énergie qui soigne » est connue depuis des millénaires: médecine traditionnelle chinoise, chamanisme, ayurvéda y recourent… L’Occident s’ouvre désormais de plus en plus à cette vision holistique de l’être, au carrefour des médecines traditionnelles et de la physique quantique.
En tant que naturopathe animalière, je recours toujours aux soins énergétiques en complément aux approches naturelles traditionnelles. Dans ce contexte, l’histoire de Kéops est de celles qui m’ont durablement marquée…
Il y a quelques mois, je reçois un appel urgent: Kéops, magnifique cheval pur-sang de 5 ans, souffre d’une infection des vaisseaux lymphatiques à la jambe antérieure gauche, qui a doublé de volume.
Vétérinaire, phytothérapeute, aromathérapeute, praticien de médecine chinoise, ostéopathe équin… toute une palette de soignants est intervenue, malheureusement en vain. Les vétérinaires estiment qu’il faut abréger les souffrances de l’animal, mais sa propriétaire ne peut se résoudre à faire euthanasier le compagnon qu’elle a vu naître. Avec lui, elle a non seulement une véritable connexion d’âme, mais ce cheval est très prometteur au niveau de sa relation avec les enfants dits « différents ».
La stratégie de la dernière chance
C’est donc sur mes épaules que repose « la stratégie de la dernière chance », une bien lourde responsabilité en effet.
Comme souvent, je décide d’effectuer d’abord un soin énergétique. Il faut savoir que le corps physique est entouré d’un « bouclier énergétique », l’aura, composé de plusieurs strates, les corps subtils.
En cas d’agression énergétique – phénomènes géobiologiques nocifs, ondes électro-magnétiques, chocs physiques ou émotionnels, etc. – des trous peuvent se former dans l’aura, ce qui entraîne des fuites de l’énergie vitale, avec pour conséquences de la fatigue, des douleurs, des maladies et un affaiblissement des facultés d’auto-guérison (ill. ci-contre: à gauche aura présentant des fuites ; à droite aura intacte).
En passant la paume de la main le long du corps de Kéops, à quelques centimètres de la peau, je ressens deux zones très froides, qui me font suspecter des trous par lesquels l’énergie s’échappe, et plusieurs zones très chaudes, typiques d’une inflammation.
J’ai plusieurs moyens à ma disposition:
- un guérisseur druide m’a enseigné que l’on pouvait faire appel à l’Esprit de la Salamandre (élément Feu) pour cautériser les trous dans l’aura
- plus simple… et moins étrange, on peut aussi frotter énergiquement ses mains l’une contre l’autre pour générer de la chaleur et visualiser qu’elles contiennent un « mastic énergétique » qu’on applique comme un baume sur la zone.
Pour les zones chaudes, il suffit d’appliquer du froid, par exemple de doucher le membre à l’eau froide ou d’appliquer une poche à glace.
En complément, j’ai conseillé des plantes connues de longue date pour leur action sur les œdèmes (liquide accumulé dans les tissus), à savoir des plantes diurétiques (notamment l’orthosiphon), plantes qui avaient déjà été administrées par le phytothérapeute, sans résultat durable.
Mais logiquement, si l’aura ne « fuitait » plus, d’une part Kéops mobiliserait mieux ses facultés d’auto-guérison, et d’autre part toutes les autres approches se révéleraient plus efficaces…
Effectivement, en dix jours, l’état de Kéops s’est spectaculairement amélioré. Il n’était plus question d’euthanasie, mais de projets enthousiasmants pour son avenir!
[1] Sonia Martin, naturopathe animalière est la fondatrice de l’Ecole Suisse de Naturopathie pour Animaux (ESNA)
[2] Lynne Mc Taggart est conférencière, journaliste scientifique, auteure et éditrice en médecine alternative.